Jorge Pellicer est assez connu en Espagne, surtout grâce à une série de vidéos où il explique de façon très accessible les leçons du livre « Un cours en miracles », même si son enseignement aujourd’hui ne peut pas être enfermé ni dans dans un livre ni dans un courant.

J’ai traduit les quelques lignes avec lesquelles Jorge se présente dans son site. Cela vous permettra de mieux le connaître avant de regarder la vidéo.

https://youtu.be/ecci6WJO0Ok

« Mon chemin est le tien et le tien est le mien car il n’y a pas de séparation, seulement l’Unité. Parler de Moi, c’est parler de Toi, à la fois superficiellement (horizontal) et dans le profond (vertical).
Il n’y a aucune différence d’aucune sorte puisque nous partageons l’Esprit, l’Être et la Création.
A mesure que je découvre et exprime la Vérité de Mon Être, je découvre et exprime la Vérité de ton Être, et nous nous souvenons tous les deux ensemble que Je Suis.
La Loi de la Création est une et la même pour tous, par conséquent il n’y a donc pas de rangs, d’inégalités, d’avantages ou de différences. Les opportunités sont les mêmes pour tout le monde grâce à la Vérité Je Suis. Il n’y a aucun pouvoir en dehors de Toi, parce que Je Suis est le seul Pouvoir. Je Suis/Tu Es une fenêtre par laquelle l’Un (le Tout, l’Être, le Divin, Dieu, l’Amour…etc.) s’exprime sans limites.

Quand je pense, je ressens mes pensées, comme cela t’arrive à toi, parce que nous Sommes le Même.

Lorsque je perçois, j’éprouve ma perception comme cela t’arrive à toi, car nous Sommes le Même.

Lorsque j’envisage d’attaquer, je me plonge dans l’expérience de la victimisation comme toi, car nous Sommes le Même.

Lorsque je laisse l’Amour entrer par la fenêtre de ma conscience, je le vis et je le Suis, tout comme toi, car nous sommes la même fenêtre vers le Suprême.
Par conséquent, ici, vous n’allez pas trouver quelqu’un d’autre, mais Toi-même, car Me reconnaître, c’est Te reconnaître, et trouver Ma Joie d’Être, c’est trouver Ta Joie d’Être.

Je célèbre cette Rencontre Parfaite.
Gratitude infinie. »

Jorge P.